venus

Je cache mon âme
Évitant son corps délétère
Protéger de l’amour drame
Devant sa posture guerrière

L’encre coule je pérore
Un rêve de Loge
Qui cherche son décor
à cette glissade de toge

Ebloui par le vide sidéral
Qui émane de sa sérénité
Venant du monde minéral
Réveillant toute cette beauté

Dominé par cette déesse
De marbre Quel désarroi
Drapé dans ses liesses
Regarde son sourire narquois

Le burin a formé
Les beaux seins étendards
Ce message est déclamé
Pour sortir du cauchemar

Cette forme intemporelle
Vision qui se propage
Pour exhiber le sensoriel
Sous un vêtement de nuage

Ma litanie ce dilue enfin
Dans dans le vent avisé
Questionner sur ma faim
Devant la Vénus figée

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