précipices

Quand la vie coule de rien
Que tout ton monde va bien
Que la paix et en toi
En toute bonne foi

En grande confiance
Tu relâches la vigilance
Et sans méfiance
Dans une absence

Le mal dans ton antre
Te fait perdre ton centre
Et tu laisses sortir
Cette envie du désir

De ce mois haïssable
Qui œuvre incontrôlable
Perdu tu embrases  l’animal
Et sans retenue l’abyssal

Revenir sur la rive digne
Avec le goût de l’indigne
Plaisir et délicieux poison
Qui te laisse des frissons

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