Le vent souffle en bise
Dans ton ciel nuageux
Le phénix se pose
Sur une cime bienheureux
Il a oublié ton chagrin
Et t’a laissé à ta tristesse
L’espoir est ton besoin
Mais tu vis dans la détresse
Tu ne peux oublier le drame
Qui a engendré l’hôpital
Un endroit pour toi infâme
Avec un destin fatal
Traumatisé dans ta boucle
Tu cherches le coupable idéal
Tu rêves d’utopie et d’escarboucle
Pour revenir au monde sidéral
J’ai peur pour ton âme
Que tu dis fragmenté
Ton faux sourire nous charme
Dans un souffle désenchantée
Tu sombres dans le poli
Comment t’émerveiller
L’oiseau de feu et mélancolie
Que faire pour l’éveiller