Loin des paroles en braille
Sa dialectique et Yang
De sa demande bang
Mon cerveau fait mitraille
Je prose l’astre qui brûle
Les hommes sans oripeaux
Au nuage de leur peau
Sans peur de la férule
De ses rayons de vie
Où la nature fait sens
Que les humains encens
Dans ce besoin alouvie
Son opposé de nuit
Au reflet de rouge
La regarde en ce jour
Dans l’horizon qui bleuit
Venu du fond de l’espace
Le météore délétère
La arraché à la terre
Pour une survie de glace
De cet impossible amour
Les vagues et leurs sédiments
On ensemençait l’océan
Pour de long séjours
Elle embrassera son Dieu
Quand l’expansion du temps
Sera son dernier printemps
Dans un ultime adieu