Le réel est en chemin
Moi je drive au cœur
Et cela sans liqueur
l’ami qui crois en la main
Triste est ce jour
Ou avec mon œil Nokia
Au chaud dans la Kia
Je vis encore ce séjour
Ce gourou du vide
Qui fait placebo
Et prône le beau
En faux espoir cupide
En ce joyeux printemps
Ou la beauté de la nature
Qui libre bourgeonnent pure
En s’ouvrant avec le temps
Bien après l’humanité
Les dieux succombant
Devant ce monde vivant
bien loin de l’inanité
Le feu est là haut
Qui chauffe la vitre
Et poétise ce chapitre
Quand je regarde les oiseaux
Là en l’attente de pluie
Pour rafraichir mon âme
Et laver mes larmes
Lâche derrière un parapluie