empathique

Je déambule et doute
Perdu sur cette route
Plein d’effluves de goudron
Sur ces trottoirs chaudrons 

Cherchant l’ombre médecine
Croisant les figuiers en cimes
vers ce tronc cerbère
De cette verdoyante mère

De ce fragile îlot
J’en ferai mon lot
Protégé du feu
Dans cette assise de peu

Pour ce poème d’oubli
Dans ce temps en empathie
Ou les oiseaux  harmonieux 
Vivent de chants mélodieux

Comment Pui-je être heureux
La ou les bons amis malheureux
On la peur de sourire
Dans leur destinée à venir

La sur leur tête fragile
La solitude du facile
De ceux qui observent
Ces moment triste qui arrive

Ces pensées se diluent
Dans l’âme absolu
De cette libre nature
Ou la beauté  perdure

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