La beauté de la rime
La profondeur du sens
Qu’importe où tu te lances
les deux sont ta cime
La clarté de l’une
Pour le désir des apôtres
La céphalée de l’autre
Pour une triste tribune
La vacuité des idées
Dans lequel tu souffres
Et celle où on s’engouffre
Sur un chemin avisé
L’esprit en doute
Là où ton physique
Cet outil ascétique
Tient encore la route
Vouloir être un poète
Et meurtrir le sac
Et de ce ressac
Des poèmes se prêtent
Chercher la lumière
Et embrasser l’ombre
Vite sortir de la pénombre
Pour retrouver l’âme première