désir d’amour

Ce besoin de la vie, que je toise avec envie
Un rêve facile, d’une beauté gracile
Femme de nuage , pour écrire ma page
La au bleu du ciel, un sourire de miel

Déesse au hanches uniques, au corps tonique
A la peau de craie, ou m’y encré
Aux yeux coquins, d’un vert mutin
Une brise de douce, aux cheveux de rousse

Le toucher pur délicat, d’une femme habitat
Une bouche de feu, cela en tout lieu,
Plaisir de l’essentiel , des seins arc en ciel
Qui tiennent dans une main, richesse de l’examen

Le contact est brûlant, dans un état stimulant
Le show des jeux, et de ses enjeux
Sans se lasser, dans le dos se glisser
Susurrer pour délirer, adorer pour désirer

Là sur ces formes, qui se transforme
En un cadeau, grand et beau
En action de peu, pour exaucer nos vœux
Un nuage de foi, en un fantasme de toi

desir de l’age

Je poétise sur quoi
Narcisse est mon endroit
Je parle du moi
C’est ce qui me foudroie

La peau flétrie par l’âge
Les corps désirables
Qui sont mon suffrage
Sont loin balnéables

Éros va à la salle
L’espoir est dans le sport
Avant la succursale
Du nuage de Flore

Le regard vers les formes
Des belles dames en quête
De ces déesses filiformes
Dans ce rêve en requête

L’amour est bien né
à l’âge dit légal
Le désir spontané
Du chant des cigales

Les yeux vers le charme
D’une égérie de mon ère
La faiblesse qui désarme
La peur de la guerre

La féminité en intime
Veut vivre la tendresse
Ne pas être victime
De la mante doctoresse

Le temps coule
Et le rêve se perd
Etre encore cool
Dans ce point de repère

Comme l’animal inconscient.
S’éteindre n’est pas en L’ego
Protecteur du subconscient
Se mentir et entendre l’écho

sectes

Suivre un gourou
Et être en possession
Le mirage du Grand Tout
Est une illusion

Etre dans l’inaction
Et un acte futile
Le faible en action
Pour les sectes faciles

Toute mouvement sans report
Evite d’être fragile
Etre dans le sport
Et dans l’esprit ces utile

L’envie de création pure
C’est être permanent
Prévoir le futur
Ici et maintenant

Tout travail réel
Emmène au transcendant
Vivre le monde actuel
C’est mystique et envoutant

Détachement de l’au-delà
C’est être en pureté
Penser par soi-même là
Sans Dieu et la liberté

flash back en refrain

Sans surprise c’est le come-back
Avec le retour des flashbacks
Déjà quelques semaines
Voir jusqu’ou cela me mène

Cette femme qui est ma peine
Triste insomnie qui est mienne

L’appel aux agents de la paix
Au regard du passé tout est suspect
Grâce au temps la crise s’estompe
Mais je sais que je me trompe

Cette femme qui est ma peine
Triste insomnie qui est mienne

Jamais dans les actes
Peur de voir l’opprobre
Dans le regard cataracte
De la famille en cohorte

Cette femme qui est ma peine
Triste insomnie qui est mienne

Une vision qui mes interdite
L’éducation qui rejette l’Aphrodite
Le fantasme rêve de hardcore
N’est pas dans l’âme ou le corps

Cette femme qui est ma peine
Triste insomnie qui est mienne

Les hommes du feu
Sont SOS de peu
Ma psychose regarde le clash
De mon futur dans un flash

poète quoi ?

On me dit poète
Des adages  pour être
Illusion de poésie
Mes rimes sont frénésies

Une violence creuse
Sourde et ténébreuse
Avec le cœur plein
Pour certains cristallins

Chercher la voie
Et entendre une voix
Dans ce vide
Un besoin avide

Ecrivant des choses
Des petites proses
Perdu dans l’éther
pour les destinataires

Sentiments de facile
Sans effort c’est futile
Les vers doivent souffrir
Pour me faire sourire

Aller au bout des maux
En recherche de mots
Sortir de mes limites
C’est ce qui me sollicite

Le plaisir sans le soufre
Il faut que j’en souffre
Continuer les écrits
Et être en symétrie

besoin

Un mal rempli de tristesse
Avoir le cœur au bord de l’âme
Une quête abyssale de tendresse
Colère pour éloigner les larmes

Plonger dans le gouffre
Le sang sur les murs
Lécher par le soufre
Se construire une l’armure

Les poings en effroi
S’enfuir dans l’animal
Ce carcan qui broies
Le corps primal

Les besoins potions
Les jeux placebo
Sont des lotions
Qui frappe le brasero

Filiforme de vie
Loin du viril
Donc je fais fi
Sans être rigide

La chaleur d’une prose
L’argent miroir
L’acquis Des roses
Avant la croix

Ecarteler l’envie pour longtemps
Cette chute dans le vide
Cette dichotomie tout le temps
Un SOS a une sylphide

Marise

Une durable rencontre
du à l’ami pierre
Et à l’amitié de Daniel
trop tôt Parti au ciel

Très vite le gardien
Des meubles et chiens
Accueilli avec bienveillance
La bourse en élégance

Norbert le job en alliance
Profitez de l’expérience
Maçonnerie peinture râteaux
Carreau et Surtout cerveau

Souvent sur la pelouse
Du classique pas du blues
Musique en auditoire
En écoutant la guitare

Malgré les opérations
Poursuivre l’action
Toutes les épreuves
Toujours comme preuves

Maryse la résistante
reste encore pétillante
Le tapis est au repos
Mais reste dispos

Les difficultés sans fin
C’est un chemin aux confins
Le fruit de ses entrailles
Se heurte à une muraille

Le compagnon choisit
Dans le mal lui aussi
C’est un destin en silence
Dans le choix de la résilience

patience

L’impatience à l’épreuve
L’énergie est courtoise
La patience comme preuve
L’âme reste sournoise

Eviter le stress
Pour le futur
Ne pas convoquer Arès
Et toutes ses créatures

Garder son centre
En toutes circonstances
Une envie de cendre
Pour lâcher la sentence

Les dominateurs de tout poil
Ces hommes pleins d’indécences
Aux langues puant le gasoil
Faisant fi de l’expérience

L’âge venant le vent tournant
Leur coffre vide de sens
Leur piédestal vacillant
Dans la craintes des tourments

Certains résilients
Les autres arrogants
Tous implorants
L’échéance venant

vieux

L’âge pour la sagesse
Ou beaucoup on compris
Illusion de jeunesse
Aux physiques mal appris

Vivre du passé
Souvent philosophe
Du présent dépassé
Loin des auditorium

La mémoire défaillante
Les muscles louvoyant
L’énergie décroissante
Et devenir malvoyant

Fini le flamboyant
A son âge s’adapter
Bonjour le larmoyant
Au costume s’apprêter

Vouloir être beau
Le jour des roses
Pour les suiveurs robots
Et enfin faire une pause

La canne pour marcher
Outil pour les anciens
Badine pour la paix
Qui frappe les vauriens

Vieux dans le corps
Jeune dans la tête
Mais pas encore mort
Toisé la fin qui guette