neutralité

Observateur de la vie
Par défaut pour comprendre
Poète non défini
Tout voir et prendre

Surtout ne pas juger
Accepter les contradictions
Cela sans préjugés
Et sans idéalisation

Le regard vers le neutre
Ceci en préambule
Ne pas être pleutre
Accepter les faiseurs de bulles

Nous humain dit de race
Ce mot a connotation
Qui détruit pour faire place
Et qui a peur de l’affection

Faiblesse commune partout
Avec la maladie
Comme certains grands Manitou
A l’esprit décati

Nier les autres différences
Créateur de nouvelles religion
  Cette belle engeance
Distillant la robotisation

Dans toute la population
Ou les ethnies et les pieux
Perdu dans leurs positions
Et leur délire de dieux

Faisant fi des cultures
L’argent et leur besoin
Dont ils n’ont cure
Elan de leur soin

plage

La pulsion de l’envie
Sortir en liberté
Se montrer à la vie
Sur la plage désertée

L’huile pour bronzer
L’océan dans sa houle
La crème pour protéger
Une vision qui saoule

Les corps dénudé
Sous le bleu du ciel
Certains libre élancés
Là sous le soleil

Les yeux qui ensoleillent
Les peaux blanche ou noire
Là en simple appareil
Jusqu’à la lueur du soir

Les regards qui invitent
A des jeux qui tremblent
Un plaisir étatiques
Dans les vagues et le sable

Les sourires qui rassemblent
Sur les dunes semblables
Se quitter agréable
En ce jour balnéable

être ou pas

Pourquoi se mentir
Loin du sourire
Ne pas choisir
Il faut en rire

La délicate position
Des élans n’ont pourvu
D’une autre génération
Cachée à la vue

Mariage de raison
Ouvrir les écluses
C’est là leur prison
Les religions en excuse

De l’amour surtout
Oublier la curée
Embrasser le tout
Pour cette liberté

Rêves en faute
Fantasme en retour
Et cela sans dots
Réalité sans détour

Solitaire en gestion
Rester pour rien
Enfermé en son bastion
Sans voyage aérien

Les chocs de l’enfance
Mais ne jamais voir
En charge de source
Du temps pour savoir

henry plée

Folle était les années
Avec parents  de bonne factures
Quand tu es arrivé
Les Beaux-Arts en ouverture

Le burin la glaise et l’argile
Déjà empreint de recherche
Vers les groupes de parole
Plus tard dans les dépêches

Ta réussite en sculpture
Un destin à l’opposé
Son échec en peinture
Sans jamais se croiser

Très tôt le maki
Les frontières en gestion
Grâce au terrain acquit
Vert le camp de concentration

Torture et privation
Jusqu’à la Libération
La France en reconstruction
Le monde en désolation

Prise de poids en musculation.
Très tôt le judo en passion
Pas de catégorie en compétition
Proche dés finale en mention

Adepte passé de la savate
Les percussions en manque
Le karaté en bravade
Longtemps chercher ses marques

Les affaires pour l’argent
Les contacts afférents
Surtout pas sans  tourment
Les défis divers notamment

 Et ce fut ton moment
 Venu des experts du Japon
Tout les maîtres défilant
Pour faire un pont

Le temps filant
Les champions de toujours
Loin d’être somnolent
Ont vu le jour

Toi en progression
Vers les invisibles
Corps et esprit en fusion
Là ton envie sensible

Des chroniques splendides
Les séminaires pour allier
Avec l’humour d’un guide
Pour stimuler les éveiller

Tu ne te dis pas maitre
Toi qui te veux libérer
Si les mesure on leur mètre
Toi le sage tu nous à fédéré

massage

Les doigts glissent sur la peau.
Avec le touchait par défaut
De l’argent pour le Graal
Le massage intégral

Par des mains agiles
Avec l’huile chorale
Sur les formes fragiles
Qui danse sur le pectoral

Etaler sur le verso
Jusqu’à agiter le recto
La fin attendra
Il faut faire les bras

Masser les jambes
Comme sur une gambe
Le corps et luisant
Un plaisir dégoulinant

Regarder les hanches
L’action en déhanché
Pour stimuler l’envie
Contre ces pointes de vie

Enfin le moment droit
Tourner sur l’endroit
Cette beauté rêve en vers
Etre penché sur  l’envers

Ne pas être sur sa faim
Douche est serviette de lin
La Sylphide tendre enfin
Avec un furtif câlin

colères

Chercher les mots
pour écrire les maux
Les marquer de mon seau
Là au fil de l’eau

Larme dans les yeux
Bien loin des dieux
qui coule souvent
Les sécher par le vent

Rage du temps
Qui dure  longtemps
Le bitume bruyant
Sous les phares distrayant

Suivre la route vers l’horizon
Le road-movie déraison
Les poésies futile mission
Mes vrais outil de raison

Les même Triste saison
Faire encore sans passion
Ce fric Objet de liberté
Pour ceux bien nés

L’amour pervers de l’argent
Vite Laver au détergent
Tous ces croupions
Donneur de leçon

Dominant sans brûlure
Faire fi des pourritures
Déchirer les bâillons
Jusqu’au dernier bastion

décaler vs bobo

L’électrique au garage
Mouton bobo sans ratage
Voiture vélo ces normal
L’Illusion de l’original

Profiteur Adapté au moment
Sans aucun tourment
Bourgeois avec maison piscine
A faire pleurer les glycines

Écologiste de jour
Au regard de tous
Pollueur au loin
En évitant les témoins

Vive les décalés
  Qui veulent se créer
Tous les hors normes
qui cherche les vrai Ames

Intelligent bien souvent
A la limite du vent
qui Font fi des réformes
Et traîne leurs traumatismes

Sensibles a la déchéance
Le regard vers leur échéance
Au confins des égotistes
qui détruisent les piste

Ne pas se voiler la face
ce miroir de surface
voir en toute liberté
regarder en soi la vérité

Vie pleine d’autodérision
Inadmissible et cette vision
Pour les Bien Née
Qui ignore les ainées

Le chaos quel bonheur
Des être Sans honneur
Les justes sont pacifiques
Observent en armes poétiques

moment nature

La rue Carros déserte
Sinueuses en desserte
Au loin l’enclos des chevaux
Pâturant l’herbe au repos

Le soleil brille au mars
Les hautes herbes éparses
La clémence du temps
Des arbres pour longtemps

Les nuages glisse leur formes
Je regarde ces rêves informe
J’imagine des Muses là
Sur mon regard las

Assis dans la Kia
Je pense à Anna
Et j’occupe le moment
Poèmes loin des tourments

La à côté de la maison
Dans son besoin de guérison
Et faire fuir le malin
Pierre espère sous les mains

Je me sens négligeable
Dans ce rythme agréable
De la radio qui calme
Au confins du vacarme

Mon esprit vagabonde
En idée féconde
Comment transcrire
Mon cerveau ne sait écrire

Tout va trop vite
Et cela m’attriste
Poétisé les mots
C’est le moindre maux

Revenir à l’essentiel
Regarder le ciel
Les cumulus son noir
Cette bise de l’espoir

Qui éloigne la pluie
Rangeons les parapluies
Pour la beauté du jour
La nature de toujours

Le son du blues est beau
La musique dans la peau
Avec celle des oiseaux
Bien loin des caveaux

desir par defaut

Tu écris en art mineur
En recherche de valeur
On te dit doué
Les maux pour créer

Louer soit leur bienveillance
A toi d’être en vigilance
Les arts majeurs
Ce n’est pas ta primeur

Comment paraître
Sans mal-être
Ton désir est ailleurs
Homme triste railleur

Assouvir avant la faux
Les mots par défaut
Le désir de la chair
Risque qui coûtent cher
 

Peu importe le genre
Absolution des transgenres
LGBT et autres perversités
Les aléas des sexualités

La beauté des femmes
Une peau qui désarme
Le sexe des anges
Ne sont  que des mirages

Instinct de reproduction
Plaisir de la désolation
Vie matérialiste sans rêve
L’âme polluée en crève

Le besoin d’avenir
Ne plus se pervertir
En ce monde perdu
Vivre dans la vertu

Avoir la conscience de soi
Comme ceux qui voient
Et se tournent vers l’amour
Maintenant et  pour toujours