hypnose

Tu brilles sur les écrans
Et manipule les cerveau faciles
Tu cible les proie  utile
Loin Des journalistes prudent

Le regard bleu  hypnotique
Fige les artistes rêveurs
Qui sont souvent ailleurs
Ces saltimbanques de l’unique

Une voix qui charme
Seul vrai talent
Les yeux ardent
Ou tous se pâment

Ces gogo que tu attrapes
En bon stratège
Tu crées des pièges
Avec complices chausse-trappes

Tu manipule avec hardiesse
En des mots sensitif
Les gentils émotif
Qui sont ton business

Tu surfe sur l’exception
Tu évite les guerriers preux
Avec leur esprit de feu
Les règles tournée en dérision

rêveries d’amour

Cet élan de tendresse
Qui fait fi des religions
Et de leur possession
En ce besoin qui nous presse

C’est corps charnel de désir
Dans les bras incertains
Loin des règles de certains
Dans le feu des plaisirs

En chauffe sortir les oripeaux
Peu importe l’endroit
Du lieu qui foudroie
Et se coller contre les peaux

Avoir la tète a l’envers
Les seins dressés
Les sexes pressés
Vivre ces mots en vers

Les toucher coquins
Les draps qui se cachent
Il ne faut pas que ça gâche
Les besoins de câlins

En dessous des yeux
Des partenaires addicts
Les mains qui dictent
L’imagination des jeux

Ces moments qui glissent
Les regards furtifs
Sous les corps actifs
Décuple le Narcisse

Ces instants de laves
Ces lames de fonds
jaillissant des tréfonds
En abandons suaves

Apaisement des âmes
Les bouches qui explorent
Les visages et la flore
Et tombe les arme

Oublier la lueur du jour
Poème qui se déclame
L’amour que je clame
S’enlacer pour toujours

platane

Tu balises les routes d’antan
Glissant sur l’opprobre
Les chauffeurs te snobent
Toi est tes rameaux tombants

Tu tutoies le ciel
Et survis en forêt
Dans les parcs aéré
Un avenir arc-en-ciel

Leur puissance et absolu
La hache brille c’est l’homme
La pour ta pomme
Le risque est révolue

La nature en pleure
Les chauffards  en ri
La vitesse leur sourit
Jusqu’au parterre de fleurs

 La lame sourde des assassins
Couvre le fracas du bitume
Tout cela sans amertume
Et fait fuir les marcassins

Le temps est pour toi
Tes racines profondes
Sont riches vagabondes
Devant l’humain qui s’apitoie

pére

Tu as vu le jour
Au delà de la Méditerranée
Ton pays de toujours
Très loin d’être bien né

Une mère acariâtre
Un père vite décédé
Une guerre en enfer
Pour toi non décidé

Le rejet du continent
Une vie en solitaire
Ce mariage permanent
Et les bars cerbère

Ton monde intérieur
Cacher à la vue de tous
Humble jamais supérieur
Pour les amis surtout

Un état suicidaire
Cigarettes comme calmant
Avec l’alcool lapidaire
Un état triste alarmant

Une violence délétère
Ce traumatisme destructeur
Sans jamais de repaire
Dans cette vie de malheur

Le temps réparateur
disséminer dans ton cœurs
Loin d’être ton bonheur
Et ce jusqu’au convoyeur

désistance

J’écris cette demande de Marie
Ca m’amuse et j’en ris
Cela bien avant Noël(le)
Dans ce poème du  réel

Déjà quelques jeux de mots
C’est là les moindres maux
Quelques phrases pour l’idée
Celle qui viennent me vider

Il me faut remplir cette page
Pour vous abreuver de mon cépage
Rentrer dans le vif du sujet
La desistance est mon objet

Du bienfait de l’outil
Qui m’a été utile
Lâcher tout dans le groupe
Pour que Hyde n’est pas la coupe

Mon passager noir
Bien que sournois
Est sous contrôle
Je le dois à mon rôle

Le mal est présent
L’encre est mon expédient
Appris au cœur des réunion
L’âme qui fait l’Union

Il me faut jouer ce jeu
C’est tout un enjeu
Pour chasser le poison
Et sortir de la prison

Mon manque est cruel
Sans être consensuel
Mais l’esprit et clair
Dans l’équilibre précaire

Moi qui suis sensuel
Je souris dans mon écuelle
Bip ( c..)  est la blague de fin
Je vous laisse sur votre faim

transmission de colères

L’anxiété de la mère
Engendrer par le mal du père
A son corps défendant
Attriste le cœur de l’enfant

Violence de tous les terrains
Et diffuser intra-utérin
Créent des blocages récurrents
Triste et presque permanent

Utiliser les outils à l’envi
Un travail d’une vie
Pour être efficient
Et être rarement performant

La rage du géniteur
Recherche et douleur
Ce subtil poison
Vite casser cette prison

Accepter la faiblesse
Et toute cette paresse
Pour aller vers l’action
Et trouvais des solutions

Regarder serin les erreurs
Et oubliez les peurs
Non l’image d’une punition
Juste comme  une libération

En son monde habitat
Etre le résultat
De son histoire
Et survivre sans gloire

Evoluer avec peine
Avec ceux qui comprennent
Les moments de colère
des maux délétères

matin

Ce réveil ou le coq chante
Non pas que ça m’enchante
Tel le chat je m’étire
La réalité me respire

Il me faut encore me lever
Ce cauchemar est à laver
Vite faire mes émulsions
Comme un robot sans passion.

Mon estomac est noué
Pas de petit déjeuner
Les chaussures la veste
Le froid dont je peste

L’explosion des cylindres
La musique blues à revendre
Cette chaleur dans l’habitacle
Sur cette route spectacle

Pour sortir de l’apathie
Avec le son en thérapie
Avant la journée
Qui dure des années

Même un travail aimé
Ne peut compenser
Ce besoin viscéral
D’un amour primal

Honni  en société
Elan de liberté
L’écrit en perdition
Du poète en dérision

eurêka

La rencontre à Eureka
De suite j’ai trouvé
Chose difficile à avouer
L’intelligence sans arnica

Tous les footings de passion
Rouler avec toi à vélo
Fantasme des plus chauds
Cache mal mon appréhension

Souvenir du parc de Canéjan
Le rêve ne doit pas être
C’est contre les règles
Tout ce temps indigent

L’envie de renaître
Sous l’emprise des bras
Se cacher sous les draps
Donnant ce corps au maitre