chemin

Le temps a agi en toi
 La des écris sont nés
De ta plume en émoi
Pour survivre au années

Toi tu suis ce chemin
Et crois avoir appris
Dans des pages parchemin
La poésie donc tu es épris

De ce destin sans RAS
Tu fais route vers l’avenir
Et cela grâce a Maras
Tu rêves de proses a venir

Pour exprimer tous ces maux
Les expurger de la noirceur
De ton être jumeaux
Qui est ton âme sœur

De ce monde noir égaré
Ou tu comprime a loisir
Dans des écris éthérée
Les mots voulu navire

Le rônin est dans l’envie
Ce samouraï de cahier
Sans maitre en vie
D’étendre l’horizon au papier

Toi tu est hors catégorie
Loin des flots du slam
Du rap qui démolit
Et des poèmes tout flamme

anniversaire Ana 2024

Bon anniversaire Anastasia
Mon âmes est sincères
Dans la journée fantasia
De mon ana princière

Cependant toi tu mérite mieux
Je te connait pourtant
Que dire d’harmonieux
Sur toi qui est tourment

L’illusion de te savoir
Toi qui patiemment m’écoute
Comment  puis-je te voir
Toi qui cloisonnes ta route

Ensemble dans ce temps
Que je veux te conter
Par des poèmes ardents
Ou je peut vagabonder

Je poétise ce jour
Pour le marquer au vent
Toi la pour toujours
Avec moi sous l’auvent

Le poète est en délire
Dans son besoin de vie
Toi tu est tout sourire
Dans ton cœur en envie

questions

La statue pointe au ciel
Le soleil éclaire la vie
Cela sans arc-en-ciel
Le marché est en avis

Tous dans cette file
Moi du car je regarde
Dans mon temps qui défile
Cette attente qui me garde

Enfin le départ du Midi
Au soleil derrière la vitre
L’action qui me maudit
Dans la survie d’un pitre

Ce drive du plaisir
Loin des réelles envies 
Autant les yeux en rire
La monnaie en préavis

Nous venu du Big bang
Ignorant le pourquoi
Avec une l’idée de bang
Dans un instinct narquois

Muse

La route vers tes yeux
Même sous les embruns
Et un plaisir joyeux
Que ce chemin commun

Jamais dans le doute
De voir ton âme
Toi qui m’écoute
Et montre tes larmes

J’aime quand tu ris
Je pleure à ton cœur
Triste qui me sourit
à distance du bonheur

Ma logorrhée et vie
Tu nourris mon esprit
Malgré ta patiente survie
Et mon ego mal appris

Ton silence est beau
L’évidence de l’intelligence
Moi je porte le drapeau
De ma futile arrogance

ton laconisme en réponse
Oui, quoique, peut-être
Sont des vrais semonces
à mon envie de paraître

Mes années de plus
Toute cette expérience
Sont de pathétiques surplus
à ta stimulante présence

Moi le pseudo guide
Avec toi je poétise
Mon encre au vide
Avec l’art je pactise

sans réponses

Le peuple a voté
Ce choix par d’égouts
Qui valait la majorité
Pas pour tous les goûts

Les extrêmes pro-amas
On fait une coalition
Avec les modérés, hélas
Qui vaut la dissolution

La France, ce musée
  L’illusion des boudoirs
Des présidents abusés
Par les vrais pouvoirs

Toute cette énergie de vie
Avec les pathétiques excuses
L’humanité est survie
L’instinct est notre Muse

   Triste recherche futile
D’une vraie réponse
Tous ces maux inutiles
Une question absconse

Alors pour le temps
De la souffrance terrestre
L’homme et les sultans
En rêve d’extraterrestre

S’inventer un dieu comme but 
Comment vivre ces folies
  Pléthore de théories en attribut
Tous perdus dans cette mélancolie

SDF (rebelle)

Pour toi, Mathieu avec un T
Celui qui ne boit pas de thé
Toi la chenille  du ver à soie
Futur papillon, cela va de soi

Avec empathie, je parle de toi
Et mes mots seront courtois
Tu suis l’équipe de France
Et les bas-fonds en aisance

Le système nous met en box
Toi tu hères avec les Black Box
Tu kiffes Thanatos et ça en jette
Dans cette ville que tu rejettes

Tu hais la politique ,ton suaire
Bouscule les keufs en risque grégaire
Là dans des vapeurs de houblon
En lançant des boulons

Tu caches une douleur profonde
Ce qui peut expliqué ta faconde
Tu peux voler les grandes surfaces
Tu es libre en cet espace

Dans le tram, tu es chafouin
Tu rends justice ,ce réel besoin
Electron libre gouailleur
Profondément autodestructeur

L’homme perturbé est peu raisonnable
Les restos du cœur ,c’est acceptable
Dans ce désespoir triste à déplorer
Tu préfères l’ivresse plutôt que d’implorer

Quitter cette vie que tu redoutes
Les beuveries te laissent en déroute
Enfin fini ma logorrhée verbale
 Dans cette histoire sociale banale

cacahouète

Comme les acouphènes
 Tu ne veux que régner
Toi miroir aux alouettes
Que d’efforts pour t’éloigner

 Tu rythme à loisir
Sans crier gare
Cela, loin des désirs
Qui nous laisse hagard

 Ta taille de châtaigne
Qui se veut bœuf
Toi petite teigne
Tu fais la teuf

La terre tourne
 Le soleil se couche
 La brille la lune
 Toi tu fais mouche

Ce feu des entrailles
 Qui retient les flots
 Ce chemin de paille
 Qui brûle les eaux

 Fini les perles de pluie
     Avec leur plaisirs libertin    
 Restent les mictions de nuit
qui perdure au matin

aveugle vs lunatique

De cette envie discutable
Faire partie de la fête
Le moi haïssable se prête
A une relation détestable

L’Homme égotiste brule
Dans son désir qui prime
Sans voir celui que l’on brime
Perdu dans sa bulle

Les croyances en légion 
Son des repères  féériques
Pour les humains lunatiques
Qui vivent la religion

Les maux de vérité
Qui éloigne les âmes
Ces faussetés en armes
Son dit avec âpreté

Dire les mots de bois
Sans essayer de comprendre
Avec ce gout de cendres
Ces les diluer en soi

Les excuses rythment les saisons
Le drive est en solitude
l’esprit reste en hébétude
Comment s’ouvrir en floraison

oraison

Le zodiaque a agi
Avec cette fin attendue
Moi je drive la rue
Dans mon car logis

Etre un neveu au lointain
Etrangement sans pleurs
Dans l’appel d’une sœur
Les yeux perlant au teint

La guerre d’Algérie
Jeunesse dans l’OAS
Mais jamais de SOS
Le passé en tragédie

Puis une vie de fer
Menée avec entrain
Debout dans ce train
Paris – Bordeaux belle affaire

La retraite au plus tôt
Un home à la campagne
Pour profiter de l’épargne
Et des paysages photos

Mais la faucheuse est active
La perte d’une âme
Tu n’as jamais baissé les armes
Ta famille était t’on eau vive

Rejoindra-tu dans le bleu
Ton frère et ton fils
Là au box-office
Belle croyance des cieux

La mémoire des vivants
Et symbole d’éternité
Peu importe les piétés
Dans le souffle du temps