Le temps déconseille
La course en rêve
Aux confins du soleil
Non pas de trêve
Le ciel est gris
En ce mois d’août
Vite occupait mon esprit
Qui brûle comme l’amadou
Sous cette pluie éparse
Le risque de l’animal
Encore cette force
Qui me met primal
Le besoin de pluie
Sur mon corps revenu
Mais je ne puis
Sans la déconvenue
De Mon âme d’Innocent
Avec mon envie
De refroidir le sang
Du feu de survie
La douche et là
Demain un autre jour
Aujourd’hui je suis las
Vivre la nature toujours