s’éblouir en O

La salle et à Dassault
le prof  distille l’assaut
vivre par monts et par vau
être volubile des mots

caché les traumas et maux
dans les bois et hameaux
le besoin d’Éros en eau
l’ébène  la couleur du beau

Éblouie par ce cerveau
dans le cœur et dans la peau
fantasme sans oripeaux
l’un ou l’autre les rameaux

le désir hétéro en drapeau
vérité enfin au repos
pour s’ouvrir à propos
loin des refuges d’intello

de ce temps passaient là-haut
L’âge des corps en lambeau
de ce poème sans trémolo
pas triste est trop racolo

de l’érotisme sans vibro
outil pathétique des prolos
qui rêves d’amour chaud
tout les soirs au bistro

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