espoir de peu

Ce bleu-là de plaisir
Cache mal le sombre
Des mots de l’ombre
En ce déni déplaisir

Serpent qui se retourne
Et se mord la queue
En ses médications de peu
Vite que la roue tourne

L’espoir de soins mystique
Embrun le réel
La réalité est cruelle
Loin des mots poétiques

Un désir de vie
Est rêvé de mort
Pour voir l’autre port
En ces temps de survie

Ce malade est coupable
Il a créé son mal
Ces dans l’esprit primal
De ces psys capables

L’argent pour requérir
Loin de la science
De ces médecins silence
Des gourous pour guérir

Multiplier les bornes
Pour un plus encore
Et fuir le hardcore
D’un fauteuil morne

Tous et toutes en avis
En mon âme présente
A mon écoute absente
Je donne mon préavis

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