L’œil qui voit tout
Là aux confins des nuages
Bien plus que le grand manitou
Venant d’esprit de passage
Ce besoin voulu perché
Qui dit-on contrôle
Bien avant l’évêché
L’homme et ses pôles
Les guerres et la vie
De ceux qui s’emprisonnes
En soumission ,et prie
pendant que la nature foisonnes
En libres espèces florilèges
Les tristes cobayes sont sapiens
Ceux qui pensent et vocifères
Pour supporter les jacinthes
De là à se dire sombres
Que les dominant des boudoirs
Son ces élites de l’ombre
Ne sont que des faires valoir
De penser venant d’ailleurs
Cette idée qui pour certain enchante
De bonté ou de terreur
Dans des croyances aliénantes
Cette idée qui pour certain enchante
De bonté ou de terreur
Dans des croyances aliénantes