Cette rage dans le mutisme
Cette envie de détruire
Étouffé par les traumatismes
De ce mal-être se reconstruire
Et tout ses parleurs stupides
Vendant du faux et du rêve
Avec leurs discours insipide
procréant les mêmes en relève
Détruisant les peuples
Ranger dans les immeubles
Lover dans leur piscine
prédateur plein de toxines
Distillant la guerre
Partout en ce monde
Pour les hommes qui hères
Pour leur intérêt immonde
Depuis longtemps
Cette peur du vide
Dans les âmes tout le temps
Cette terreur qui rend avide
Où est cette tendresse
présente en l’animal
Un appel de détresse
Avant d’être tous abismal